«… Où Duvoisin est incomparable, c’est dans la reproduction des pierres,
il les peint comme Chardin peignait ses pipes et ses torchons, Cézanne ses pommes, Corot les ombres de Rome,
Ingres la peau des femmes. Ce sont des pierres vraies, telles qu’on en voit très rarement dans la peinture…»
Jean DUTOURD de l’Académie française